Les câlins de maman (pour les 30 ans de mon fils Guillaume)
A m’asseoir avec toi sur l’parvis du beffroi
Se rendre compte tout d’un coup qu’il fait froid
T’agripper par l’épaule te serrer contre moi
Evoquer l’temps qui passe à grands pas
La machine s’emballe puis les années défilent
Va falloir bien un jour s’rendre à Lille
Vla le quinquin qui résonne il doit être midi
On est vraiment pas loin du resto coq hardi
Te raconter enfin quand t’étais tout mino et ta première dent
Devant nos yeux gourmands tu riais aux éclats
dans ton bain moussant
Aux câlins de maman
A marcher sous la drache cinq minutes avec toi
Peu importe le soleil tu es là
Evoquer le bonheur qui fait tant d’envieux
Te parler de ta mère y’a pas mieux
Que c’est bon d’être ivre de paroles mon gamin
Faire le plein pour les nuits de chagrin
Et entendre ton rire le plus beau des trésors
Le jour où ton absence nous dévore
Te raconter enfin les étoiles filantes souvenirs d’antan
Allongé dans le champ recouvert souviens t-en
Des câlins de maman
A m’asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
Sur les bords de la Deûle pourquoi pas
Te parler de Caro et de votre avenir
Le samedi treize août les enfants à venir
Peu importe un garçon ou bien une fille
Vous serez la plus belle des familles
Et comment tous les deux ne pas avoir hâte
De tenir par la main un Oscar une Agathe
Te raconter enfin et j’en prends le pari de garder en mémoire
Toutes les belles histoires accompagnées tout l’temps
Des câlins de maman
Des câlins de maman
A m’asseoir avec toi sur l’parvis du beffroi
Se rendre compte tout d’un coup qu’il fait froid
T’agripper par l’épaule te serrer contre moi
Evoquer l’temps qui passe à grands pas
La machine s’emballe puis les années défilent
Va falloir bien un jour s’rendre à Lille
Vla le quinquin qui résonne il doit être midi
On est vraiment pas loin du resto coq hardi
Te raconter enfin quand t’étais tout mino et ta première dent
Devant nos yeux gourmands tu riais aux éclats
dans ton bain moussant
Aux câlins de maman
A marcher sous la drache cinq minutes avec toi
Peu importe le soleil tu es là
Evoquer le bonheur qui fait tant d’envieux
Te parler de ta mère y’a pas mieux
Que c’est bon d’être ivre de paroles mon gamin
Faire le plein pour les nuits de chagrin
Et entendre ton rire le plus beau des trésors
Le jour où ton absence nous dévore
Te raconter enfin les étoiles filantes souvenirs d’antan
Allongé dans le champ recouvert souviens t-en
Des câlins de maman
A m’asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
Sur les bords de la Deûle pourquoi pas
Te parler de Caro et de votre avenir
Le samedi treize août les enfants à venir
Peu importe un garçon ou bien une fille
Vous serez la plus belle des familles
Et comment tous les deux ne pas avoir hâte
De tenir par la main un Oscar une Agathe
Te raconter enfin et j’en prends le pari de garder en mémoire
Toutes les belles histoires accompagnées tout l’temps
Des câlins de maman
Des câlins de maman